Petites ou grosses
Les déprimes rossent
A coup de crosse
Ma gueule de sale gosse
Je ne veux plus subir
Leurs étreintes féroces
Je saurai fuir
Leur sacerdoce
Et m’en irai choisir
Quelques dieux précoces
Je me laisserai bien séduire
Par ce coquin d’Eros
Mais je ne vais pas me farcir
Tous les dieux grecs en os
Je pourrais bien finir
Par tomber sur une bosse
Ça veut peut être rien dire ?
Mais j’avais déjà mis « os »
Avant de repartir
Sur mon tapis véloce
Ma cantine de soupirs
Vous sert des pardons en sauce.
Adios amigos
J’ai dérapé mais il fallait bien fuir la déprime.
J'ai esquissé une première description qui me semblait, somme toute, désespérante et désespérée. Alors, je vais tenter un "J'aime écrire et je me disais qu'au hasard d'un clic heureux, si l'envie est au rendez vous, nous partagerons quelques mots..."
vendredi 30 mai 2008
mardi 27 mai 2008
Prélude
Rester debout
Malgré les rêves profanés
Rester debout
Malgré les espoirs condamnés
Rester debout
Malgré nos amours fanés
Rester debout
Encore debout
Malgré cette lâcheté téméraire
Rester debout
Malgré ses yeux revolver
Rester debout
Même si aucune lutte ne sert
A Rester debout
Quitte à savourer l’enfer
De rester debout
Même face contre terre
Rester debout
Sans nulle autre prière
Que de rester debout
Malgré les rêves profanés
Rester debout
Malgré les espoirs condamnés
Rester debout
Malgré nos amours fanés
Rester debout
Encore debout
Malgré cette lâcheté téméraire
Rester debout
Malgré ses yeux revolver
Rester debout
Même si aucune lutte ne sert
A Rester debout
Quitte à savourer l’enfer
De rester debout
Même face contre terre
Rester debout
Sans nulle autre prière
Que de rester debout
mardi 13 mai 2008
Ivresse légère
Tourne tourne petit rouage
Montre voir ton joli manège
Fais défiler mille images
Saupoudre-les d'un manteau de neige
Qu'apportes tu donc dans ton sillage ?
Malheurs, douceur, mensonge, qu'en sais-je ?
Étale le tout sur mes rivages
Enivre moi au son de ton arpège
Oublie de me délivrer tes messages
Épargne-moi tes sortilèges
Laisse mes doigts écrire cette page
Et mes orteils éviter tous tes pièges
Montre voir ton joli manège
Fais défiler mille images
Saupoudre-les d'un manteau de neige
Qu'apportes tu donc dans ton sillage ?
Malheurs, douceur, mensonge, qu'en sais-je ?
Étale le tout sur mes rivages
Enivre moi au son de ton arpège
Oublie de me délivrer tes messages
Épargne-moi tes sortilèges
Laisse mes doigts écrire cette page
Et mes orteils éviter tous tes pièges
mardi 6 mai 2008
بْرِيَّة تْلْفْتْ لَيَّ
أَشْ دْرْتِي تَانِي
أَمُول اللّْوَانِي
حْرْقْتِي السّْدَادْرْ
فْرّْشْتِي الهْيَاضْرْ
لْدُوكْ الكْياضْر
اصْحَابْ البْكْيَة دْبْلْعَانِي
اعْطَاوْ مْلْيُونْ لْلرَّاسْ
وْ مَا عْجْبْهُمش الحَالْ النَّاسْ
نَاضْتْ رْوِينَة وْ خْلاَصْ
تْقُولْ المْيّْتْ أَلْمَانِي
يَاكْ لْبْسُو الجْلاَلْبْ
وْ جَابُو السّْكَرْ قْوَالْبْ
وْ قَالُو الله غَالْبْ
هَا حْقّْ العَامِلْ فْالصّْنْدُوق الوَطَنِي
هُومَا بْالله والشّْرْعْ
وْ بْمُولْ اللّْوَانِي المْبْرّْعْ
وْ بْمُولْ السّْمْطَة اللِّي تْفْرْقَعْ
وْ بْشْعْب كُلُّو كَيْعَانِي
إِلَى مَا كُلّْ هَا يْشْدّْ قْنْتُو
وْ يْتْسْنَّى بْهُدُوءْ نُوبْتُو
وْ يْسْدّْ بْخَاطْرُو خْرْبْتُو
إِلَى بْغَى يْعِيشْ هَانِي
أَمُول اللّْوَانِي
حْرْقْتِي السّْدَادْرْ
فْرّْشْتِي الهْيَاضْرْ
لْدُوكْ الكْياضْر
اصْحَابْ البْكْيَة دْبْلْعَانِي
اعْطَاوْ مْلْيُونْ لْلرَّاسْ
وْ مَا عْجْبْهُمش الحَالْ النَّاسْ
نَاضْتْ رْوِينَة وْ خْلاَصْ
تْقُولْ المْيّْتْ أَلْمَانِي
يَاكْ لْبْسُو الجْلاَلْبْ
وْ جَابُو السّْكَرْ قْوَالْبْ
وْ قَالُو الله غَالْبْ
هَا حْقّْ العَامِلْ فْالصّْنْدُوق الوَطَنِي
هُومَا بْالله والشّْرْعْ
وْ بْمُولْ اللّْوَانِي المْبْرّْعْ
وْ بْمُولْ السّْمْطَة اللِّي تْفْرْقَعْ
وْ بْشْعْب كُلُّو كَيْعَانِي
إِلَى مَا كُلّْ هَا يْشْدّْ قْنْتُو
وْ يْتْسْنَّى بْهُدُوءْ نُوبْتُو
وْ يْسْدّْ بْخَاطْرُو خْرْبْتُو
إِلَى بْغَى يْعِيشْ هَانِي
lundi 5 mai 2008
Quelques mots d'amour
(Un petit coucou d'un revenant)
J’imagine la nuit sans tes orteils morceaux de glace
Je m’imagine enfin débarrassée de ta face
De ton humeur de chien et de ton haleine coriace
Putain tu n’ tires même pas la chasse
Refrain :
Mais quand dans mon lit je me sentirai lasse
Que le silence se fera masse
Je saurai que quoi que je fasse
Tu me manqueras vieux dégueulasse
Je serai libérée de ton corps qui prend toute la place
Je serai tranquille pour faire des grasses
Matinées, de lire, de me pervertir et j'en passe
Sans un casse couille d’première classe
(refrain)
Je ferai pendant des journées entières la limasse
A mater autant en emporte le vent ou Dallas
j'écouterai en boucle Julio Eglesias
Ou même Enrico Macias
(refrain)
J’habiterai à paris et quitterai ton merveilleux palace
Dont tu es si fier et je vendrai le vieux espace
Je roulerai en coupé et couperai tout ce qui dépasse
chéri! tu finiras à la casse
J’imagine la nuit sans tes orteils morceaux de glace
Je m’imagine enfin débarrassée de ta face
De ton humeur de chien et de ton haleine coriace
Putain tu n’ tires même pas la chasse
Refrain :
Mais quand dans mon lit je me sentirai lasse
Que le silence se fera masse
Je saurai que quoi que je fasse
Tu me manqueras vieux dégueulasse
Je serai libérée de ton corps qui prend toute la place
Je serai tranquille pour faire des grasses
Matinées, de lire, de me pervertir et j'en passe
Sans un casse couille d’première classe
(refrain)
Je ferai pendant des journées entières la limasse
A mater autant en emporte le vent ou Dallas
j'écouterai en boucle Julio Eglesias
Ou même Enrico Macias
(refrain)
J’habiterai à paris et quitterai ton merveilleux palace
Dont tu es si fier et je vendrai le vieux espace
Je roulerai en coupé et couperai tout ce qui dépasse
chéri! tu finiras à la casse
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