jeudi 27 novembre 2008

Nayda, ou la blessure cicatrisée

De battre mon cœur s'est arrêté
A force d'attendre, mon rêve s'est brisé
Maintenant je me sens soulagé, vraiment libéré
Car peu à peu l’idée de mon retour s’est estompée

Cordialement, mohamed du blog
unclownlyrique.blogspot.com

2 commentaires:

Anonyme a dit…

@ mohamed,
C'est triste mais avec de l'espoir. Beau mélange.

@ karim,
you you you youuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu ;)

Anonyme a dit…

J'ai toujours vu en mohamed un poète dans l'âme, ce petit quatrain ne fait que le confirmer :)