Sur le fil
Je tends l’oreille
Ma Sybille
M’émerveille
Quand la nuit,
Je pense à elle
Point de répit
Nul Sommeil
Mes mains s’agitent
Mes yeux crépitent
Des mille feux
De mon soleil
Si son regard
Se fait attendre
L’envie subite
Se réveille
Ces courbes pures et
Les mots qu’elle susurre
Rendent dur
Tout l’attirail
Du pauvre gueux
Qui malgré l’heure et la douleur
Sur le fil, ne résiste pas
A tendre l’oreille